Pour les enfants
orphelins du sida
Yendouboame a pour objectif de soutenir et aider les enfants dans la région des savanes du Nord Togo, pour permettre à chacun d’entre eux de pouvoir : manger, être soigné, aller à l’école, en partenariat avec l’association « Vivre dans l’Espérance », qui siège à Dapaong.Le parrainage est une action primordiale car elle permet de poursuivre de manière pérenne la mission de l’association « Yendouboame ».
Notre partenaire local, l’association « Vivre dans l’Espérance » prend en charge plus de 1 500 enfants orphelins, ou rendus vulnérables par le VIH Sida. Plus de 100 enfants et adolescents sont accueillis dans 2 maisons familiales et « les autres » dans des familles d’accueil.
L’association « Yendouboame » gère, à ce jour, les parrainages de plus de 50 enfants et jeunes étudiants, elle est en lien direct avec les responsables.
Soutenir et aider les enfants dans la région des savanes du Nord Togo, pour permettre à chacun d’entre eux de pouvoir : manger, être soigné, aller à l’école, en partenariat avec l’association « Vivre dans l’Espérance », qui siège à Dapaong.
L’association Yendouboame et le Togo c’est une longue histoire qui a commencé en 1984. Cette année là, la Présidente, Hélène Durand, a fait un stage d’élève infirmière, en immersion dans un hôpital d’enfants à Dapaong (ville la plus au Nord du Togo).
Des liens étroits se sont tissés par la suite avec l’association Vivre dans l’Espérance, créée en 1999 par Sœur Marie-Stella Kouak en raison de l’ampleur sanitaire et sociale de la pandémie du VIH Sida.
C’est après un déplacement familial au Togo que l’association Yendouboame a été créée en 2008. Lors de ce séjour, Michèle Durand a été bouleversée par les conditions de vie des enfants de la région. Grâce à sa réactivité, elle a été à l’initiative de la prise en charge d’un petit garçon, aveugle, voué à la mort, qui s’appelait : Yendouboame.
Marie Thérèse, professeure des écoles et Alain, son mari, ont fait la connaissance des enseignants en école primaire, Elise et Emmanuel Labdiedo, avec lesquels ils échangeaient depuis 8 ans. Ils ont pu s’immerger dans leur quotidien et se confronter à leurs conditions d’apprentissage, bien différentes de celles qui existent en France. Cette expérience humaine, très riche, interpelle sur l’égalité des chances dans notre monde !
